L’a.s.b.l. "Les Fournisseurs Brevetés de la Cour de Belgique"

Fondée le 1er septembre 1988 avec le soutien du Palais Royal, l’a.s.b.l. a reçu deux missions principales : la défense et la promotion du titre.

Extrait des statuts de l’a.s.b.l. (Art. 4 ’Objet’, point 1.) :

"L’association a pour objet :

• de défendre les intérêts des personnes qui sont détentrices du brevet de Fournisseur de la Cour de Belgique ;
• de réunir toutes ces personnes en un organisme doté de la personnalité civile et de stimuler leur cohésion ;
• de promouvoir les intérêts, le renom et l’épanouissement de cet organisme et de ses membres, en prenant toutes les initiatives nécessaires et en utilisant les moyens légaux disponibles ;
• de prévenir et/ou de poursuivre par voie judiciaire tout emploi abusif du titre de Fournisseur de la Cour par des personnes physiques ou morales non habilitées à s’en prévaloir."

Depuis sa création, l’association a tout mis en oeuvre pour répondre sans réserve à chacun de ces points.

Défense du titre

Dans un premier temps, l’a.s.b.l. a assisté le Palais Royal a clarifier la liste des "Fournisseurs Brevetés de la Cour", en déterminant précisément ceux qui pouvaient se prévaloir de ce titre et en faire état. 92 entreprises et artisans furent retenus et annoncés par l’Intendant de la Liste Civile du Roi, le 15 février 1990, dans le cadre de la première conférence de presse de l’a.s.b.l.

Depuis, l’a.s.b.l. n’a cessé de veiller à l’emploi parfaitement approprié du brevet par ses membres, selon les règles établies dans les conditions d’octroi et dans le profond respect de la confiance témoignée par S.M. le Roi.

Promotion du titre

L’a.s.b.l. assume scrupuleusement le rôle qui consiste à unir et à réunir les Fournisseurs membres, en faisant de leur diversité - en termes d’activités et de tailles d’entreprise - une richesse plutôt qu’une difficulté. Son travail mené depuis 1990 dans les médias et auprès de la presse a contribué à faire connaître le plus largement possible la signification du titre et sa valeur intrinsèque. Une situation diamétralement opposée à celle observée auparavant, où la confidentialité autour du brevet était telle que le public n’en avait pratiquement plus conscience.